Pendant la période de confinement, de nombreux témoignages ou alertes de femmes agressées dans la rue ou ne se sentant pas en sécurité dans l’espace public sont remontés du terrain.
Le harcèlement de rue est un sujet que Marlène Schiappa a porté dès 2016 dans la campagne présidentielle, puis dès 2017 à son arrivée au Gouvernement.
Une mission parlementaire a été lancée et l’outrage sexiste a été créé et inscrit dans la loi. La France devient ainsi le premier pays à verbaliser le harcèlement de rue. Près de 1500 infractions ont été constatées à ce jour.
Avec la fin progressive du confinement, le risque de résurgence est réel ; c’est un véritable enjeu de société.
Marlène Schiappa a annoncé le 28 mai un grand plan de lutte contre le harcèlement de rue baptisé « Angela », en six volets :
Consultez le communiqué de presse du secrétariat d’État chargé de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations :
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chargé de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations
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